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LES RÈGLES ET LE CANCER DU SEIN

 

 

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Presse et Média


 

P É T I T I O N
octobre 2018

Pilule et risques de cancer : une étude médicale est nécessaire

 

Découvrez le nouveau site de l'APPM pour comprendre les risques des règles incessantes ! Octobre 2018

 

Femme Actuelle - Aude Tixeront - Juin 2018
Contraception : 13 idées reçues sur la pilule progestative

 

marie claire Avril 2018
Cancers gynécologiques : les signaux qui doivent alerter ? Par Sylvia Vaisman

 

ChEEK MAGAZINE Janvier 2018
Et si on avait plus jamais nos règles ? Par Caroline Langlois

 

marie claire Janvier 2018
Cancer du sein : comment le dépister et le diagnostiquer ? ? Par Sylvia Vaisman

 

ELISE THIEBAUT CECI EST MON SANG LIVRE

 

 

 

 

Dernier article Février 2020


Les règles menstruelles : amies ou ennemies.
La question semble sans objet tant les règles sont naturelles, consubstantielles à la féminité. Il nous faut néanmoins tenter d’y répondre en renonçant à la si confortable binarité. Car il est évident que les règles dont l’unique finalité est la procréation, ne font pas que du bien aux femmes...

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Actualité et Décryptage



ACTU 2018 :

Mise en ligne des articles gynécologie.

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ACTU EN LIGNE :

Ensemble, luttons contre l'endométriose - Retrouvez mon interview sur le site : LA VOIX DES PATIENTS

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PRESSE FÉMININE :

Le magazine ELLE a raison : ne plus faire violence à son corps est libératoire

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INFORMATIONS /QUESTIONS


Cancer du sein, règles questions réponses
Cancer du sein, règles questions réponses

 

 

LA CONTRACEPTION : CE N'EST PAS QUE POUR LE SEXE


Pour beaucoup, la contraception se limite au simple contrôle des naissances. Les éléments du choix de la méthode sont alors très simples, essentiellement pratiques : efficacité, contraintes, tolérance. Pourtant, en ce début du XXI° siècle, la contraception et en particulier la contraception hormonale pourrait dépasser cet unique objectif pour devenir une véritable prévention des maladies gynécologiques. La pilule avait été mise au point au milieu du siècle dernier sous l’impulsion d’une sage femme américaine Margaret Sanger. Après avoir assisté à la mort d’une femme à la suite d’un avortement clandestin, elle s’était jurée de tout faire pour mettre à la disposition des femmes une méthode simple et pratique de prévention des grossesses non désirées.
Aujourd’hui les femmes ne meurent plus des complications d’un avortement clandestin mais de cancers du sein. Il est urgent de promouvoir une méthode simple et efficace de prévention de cette maladie tant ses effets sont dévastateurs. S’agissant d’une maladie hormonale, cette prévention ne peut être qu’hormonale.
Aux USA et au Royaume-Uni, un anti-œstrogène, le Tamoxifène est d’ores et déjà autorisé et indiqué en prévention primaire du cancer du sein chez les patientes à risque.

http://www.lequotidiendumedecin.fr

C’est cette même hormone ou plutôt anti hormone que les cancérologues utilisent chez les patientes ayant eu un cancer du sein pour la prévention des récidives.

Mais plutôt que d’utiliser une anti hormone, pourquoi ne pas tout simplement couper la source des œstrogènes en mettant les ovaires en sommeil. Or la mise en sommeil des ovaires est le mode d’action de la pilule. Et, à condition de ne pas apporter d’œstrogènes, comme le fait la pilule progestative anti ovulatoire, la prévention du cancer du sein est à la portée de la pilule, à portée de main. Une étude a confirmé cette hypothèse mais curieusement, n’a jamais eu de suite.


Faire simple est-il si compliqué ?


Alors que la prévention primaire du cancer du sein par la contraception est à portée de main, les pouvoirs publics ne semblent pas concernés. D’autant que la mise en sommeil des ovaires prévient également le cancer de l’ovaire et l’endométriose En fait l’Etat est pris en étau entre d’un coté les intérêts des femmes et d’un autre coté, celui des lobbys médico pharmaceutiques. Car si l’efficacité de la pilule progestative pour la prévention primaire du cancer du sein se confirmait, ce serait non seulement la fin de toutes les autres méthodes contraceptives mais aussi la fin programmée de la prévention dite secondaire du cancer du sein : la mammographie de dépistage. Sans compter à plus ou moins long terme, la fermeture des centres de traitement du cancer du sein.


La fin des autres méthodes de contraception.

Que ce soit la pilule traditionnelle combinée, le stérilet ou les méthodes naturelles. Aucune de ces méthodes n’est capable de rivaliser avec la pilule progestative.
CANCER DU SEIN ET PILULE
http://www.sudradio.fr/Podcasts/Sud-Radio-c-est-vous/Les-regles